Comme le vent, je me faufile dans les couloir de la pensée, pour être au present.

Je suis dans mes tubes, noir comme le Danube.

Qui penses-tu touché à part le passé ?

L'huile et le papier m'aident à tenir, en ces temps de crise...

Jamais plus je ne pourrai t'enlasser.

Reservé des solaires, mon appartement se referme sur moi.

Seulement dépassé par un trop plein de pensée.

F A C E À L A M E R